THE BONY KING OF NOWHERE

Rock
Un jeune Gantois à la plume soyeuse et au chant aérien.

- Concerts
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CACTUS FESTIVAL
Du 11 Juillet 2025 au 13 Juillet 2025
MINNEWATERPARK (Brugge)
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- Biographie
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"Un oiseau rare qui a déjà pris son envol. Porté par les ailes de ses désirs. Bram Vanparys a emprunté son nom de scène à Radiohead (The Bony king of nowhere est le titre alternatif de There there). Inspiré par Tom Zé, Daniel Lanois, Leonard Cohen, The Beatles, Bonnie « Prince » Billy ou encore Ennio Morricone, il a enregistré son premier album, Alas my love, à la chaleur d'un poêle pendant de froides et interminables journées d'hiver. Prolongeant parfois les sessions jusqu'au beau milieu de la nuit. S'il a écrit toutes les paroles, composé toutes les mélodies de son album, le jeune talent aux allures et au timbre angéliques a aussi pu compter sur l'appui de son mentor, le musicien et producteur Koen Gisen, ame sœur d'An Pierlé qui, au passage, assure quelques chœurs et un nombre de percussions. Les deux hommes ont pris le temps de se connaître. De s'apprivoiser. Ils ont ensuite laissé opérer la magie. A la fin du parcours, pour au moins avoir une oreille ou un regard extérieur, ils ont demandé Jon Kelly pour mixer l'album. Tel le satellite tombé du ciel qui orne la pochette de son disque (oeuvre du photojournaliste norvégien Jonas Bendiksen), The Bony King Of Nowhere semble venu d'ailleurs. Il tutoie les étoiles. S'est créé un univers délicat, touchant, personnel, sincère, chaleureux (tendez l'oreille et vous entendrez le bois craquer) teintant son folk intimiste de sonorités tantôt jazzy tantôt plusexotiques. Le songwriter a beau chanter les dernières minutes d'un mourant (Maria), son envie irrépressible de voler (Losing Gravity), il est plus vivant que jamais et plane déjà bien au-dessus de la mêlée. Le Bony King a même sa cour. Grâce à la compilation distribuée par le magazine Wire pour présenter le festival Domino, organisé chaque année par l'AB et lors duquel il ouvrait pour Daniel Johnston, le petit prince du folk a acquis ses lettres de noblesse. Même les Inrockuptibles, en France, y ont été de leur commentaire. « La Belgique tient son Devendra Banhart : au calme, au coeur de l'automne, mais proche de l'âtre, un folk ravissant ». Tout ceci n'est assurément que débuts. Ceux d'un futur grand."